Grande première chez Paf le P.A.F
novembre 29, 2013 dans ma vie par Paf
Bon, voilà, tout arrive. La preuve. J'avais dit que je ne le ferai pas, et finalement je vais le faire. J'espère que vous ne m'en voudrez pas. J'ai mis du temps à m'y résoudre, mais c'est le moment ou jamais.
Pour la première fois donc, et ne croyez pas que ça va se reproduire de si tôt, je vais vous proposer de gagner un truc. Et le truc, c'est...
Alors pour gagner ce lot terrible, il suffira de répondre à deux questions : une de culture générale et une à propos de mon blog, puis de me raconter un petit truc pour vous départager. Le règlement est simple : je fais ce que je veux. Si t'es pas d'accord, tu joues pas. Les participations sont à envoyer à [email protected] uniquement (sinon, y'en a qui vont copier !) Je m'engage à envoyer le cadeau avant Noël, je ne suis pas débile. Vous aurez jusqu'au lundi 2 décembre 2013 à 23:32 pour participer. Parce que j'aime les heures palindromes. Et tu vas te rendre compte que j'aime les questions difficiles aussi.
Alors c'est parti.
Question n°1 : Quel est le nom du groupe que ses membres ne peuvent quitter qu'en se suicidant devant huissier ?
Question n°2 : Citer l'un de mes deux jeux préférés sur PlayStation portable (oui, oui, je l'ai dit un jour, gnark gnark, indice : paradoxal)
Question n°3 : Pour rebondir sur mon article d'hier, racontez en quelques lignes le plus gros bobard de votre vie ou celui de votre rejeton.
Pour vous donner du cœur à l'ouvrage, je vous livre le mien. À quatorze ans, ma mère m'a envoyé chez un coiffeur chez lequel elle-même n'allait plus, avec de l'argent dans ma poche. Je lui ai demandé pourquoi elle n'y allait plus, elle m'a dit qu'elle en préférait un autre. Quand je suis arrivé au salon, la coiffeuse a (évidemment) commencé à papoter en me demandant pourquoi ma mère n'était pas venue depuis longtemps. Je n'ai pas osé dire la vérité, alors j'ai dit qu'elle était morte (on est con à cet âge-là). Après, la coiffeuse m'a coiffé en silence. Quelques jours plus tard, la coiffeuse a croisé ma mère en ville. Ça s'est mal passé pour moi ensuite.
Voilà, je veux bien vos bobards même si vous ne voulez pas vous casser à chercher les réponses aux deux premières questions.
Et ben, tu n’y vas pas de main morte avec les bobards ! Excellent ! Je laisse la chance aux autres pour jouer car Papa Crevette ne veut pas de tablettes pour enfant à la maison ! (A t-il tord…?)
Mon Dieu !!! Comment ai-je écrit tort… désolée !
T’as vu, j’étais gentil, j’avais rien dit.
oui… merci, mais tu aurais pu, au moins pour le bien être des yeux de tes lecteurs/trices 😉
ah oui quand même…
je ne joue pas, mais mon clavier vient de ramasser un crachat de grenadine (oui, je bois de la grenadine) en lisant ton anecdote.
Merci beaucoup
Ouais, moi aussi j’adore la grenadine, mais moins par le nez. De rien !
J’aime beaucoup ton bobard.
Ceci dit en tant que mère, j’avoue que je prendrais assez mal si mes filles me faisaient le même coup !
Merci pour le concours, j’ai envoyé ma réponse.
Bon ouikende !
Trop fort ..
Ben moi quand j’étais petite ( en cp je crois ) j ai dit à la maîtresse que mes parents m aimaient pas et que le soir je dormais en pension et que mes parents voulaient plus de moi parce que j’étais insupportable ( pas tout à fait faux le insupportable ) ben ils ont étaient convoqués par la maîtresse….
j en ai pris une bonne après lol
Je suis bien incapable de répondre aux deux premières questions. En revanche, raconter un bobard je peux. J’ai trois sœurs. Avec ma mère ça faisait 5 nanas à la maison et le chien était une chienne. Mon père, loin de souffrir de la situation, régnait en maître absolu sur çe mini gynécée, toujours conflictuel et très fatiguant. Mon père, par définition n’ayant pas de sexe, ne comptait pas comme « garçon » dans ma petite vie de fille. Alors, je me suis inventée un frère. Un vrai frère, super viril et complètement idolâtré, par moi seulement puisque je m’étais bien gardée de raconter ça à ma famille. Je la ramenais au collège avec un succès dépassant toutes mes espérances ce qui a fait grossir le bobard au fil des jours. Au final, mon frangin avait un petit air de Bernard Giraudeau, était skipper sur un gros bateau, m’adorait et me ramenait toujours des cadeaux inouïs de ses voyages. Le jour où mes copines m’ont demandé quand elles pourraient voir cette merveille j’ai répondu qu’il était en pleine transat et que je ne savais pas quand il pourrait passer à la sortie du collège. Et c’était vrai, il y avait une transat cette année là ! J’ai tenu toute l’année… Et en septembre, je suis entrée au lycee, ailleurs. J’ai avoué ce fantasme à ma famille il y a seulement deux ou trois ans et j’en ai 54 ! Pendant toutes ces années passées à chaque fois que je voyais Giraudeau à la télé je le regardais comme mon frère et quand il est mort, j’ai pleuré comme sa sœur.
J’aime beaucoup ton bobard. Merci.
Pareil!
Les 2 premières questions, j’avoue, je sèche complet.
Mais pour la bonne cause, je suis prête à confesser mon plus gros bobard :
Lorsque mon grand père maternel qu’on adorait tous est décédé, toute la famille devait partir en Savoie pour la cérémonie.
Au dernier moment, ma petite sœur tombe malade. Elle ne peut pas faire le voyage. Ma mère s’organise pour la faire garder et commence à sortir tout l’attirail « enfant malade » : des glaces, des bonbons au miel, du coca, le lit devant la télé…
Je suis dégoûtée !
Alors, je commence à me plaindre de tout un tas de bobos et je truque les résultats du thermomètre (le bon vieux coup de la lampe) pour me faire porter pâle, moi aussi.
J’avais 10 ans à l »époque, la supercherie a été découverte dans la foulée (furieuse que je lui vole sa part de bonbecs, ma petite sœur m’a balancée) et 20 ans plus tard, mon père m’en veut encore ! Il grince des dents chaque fois qu’il raconte l’histoire…
Merci pour ce concours !!
Merci aussi pour ton bobard.
Bon, je laisse tomber le concours aussi, de toutes façons je suis nulle en culture générale. En mensonge par contre, je me défends assez bien.
Mon préféré, le plus con, c’était lors d’une ballade en vélo. Devant moi, ma grande soeur, derrière, ma mère. Ma sœur tend le doigt et montre une mouette qui passait par là: « regarde, une mouette ». Moi, emportée par ma bonne humeur, je me tourne vers ma mère en hurlant de joie « maman, regarde, y’a plein de canards! ». Inutile de préciser qu’il a fallu moins d’une seconde à ma mère comme à ma sœur pour diagnostiquer en moi une grande mythomane incapable de préférer un mensonge crédible. Ca les a fait bien rire un moment.
J’ai tenté ma chance…Je suis sûre de moi pour le bobard,étant la principale intéressée mais les questions ….là…???
Merci pour ce concours PAF et je reviendrai..j’ai lu des choses qui m’ont bien fait rire
bien bonne idée ce concours mais j’avoue je joue pas pour des raisons hautement philosophiques : je boycotte les tablettes pour enfant 😉
Tu as ma participation par mail, avec deux réponses et une tonne de bobards. Dont le plus gros reste l’invention d’une petite sœur, tout de même. Ou alors de dire, il y a moins d’un mois, les yeux dans les yeux à un copain: »ah non non, je ne blogue plus. Je suis rangée des voitures, tu sais »…
alors qui a gagné finalement Paf?
je suis trop nulle..je viens de voir….bravo à l’heureuse gagnante !