Les conneries

avril 7, 2013 dans ma vie

J’adore ce film. La vie de Jésus.

J’ai eu le même genre de mobylette. J’ai pris le même genre de pelles.

Les conneries que j’ai faites dans ma jeunesse me font redouter celles que feront préado et minus un jour. J’ai quelques exemples en tête de trucs que j’aimerais bien qu’ils ne fassent pas, eux. Je ne parle pas de conneries comme voler dans des magasins ou jeter des bombes à eau de la fenêtre de l’appart’, ça je m’en tamponne. Je parle des trucs dangereux pour leur santé.

À part le volume dans les casques (mon wakman Sony, y m’a flingué les oreilles de bonne heure avec Hell’s Bells ! ), je trouve que tout est un peu plus fort aujourd’hui, plus exacerbé qu’à mon époque de vieux con. On n’avait pas YouTube pour nous aider à inventer des conneries, mais on se débrouillait pas trop mal. J’ai fait une partie de ma jeunesse dans un bled de Moselle. Un de nos plus beaux terrains de jeux, c’était la décharge. J’en ai frôlé, des trucs pointus tout rouillés. Encore un truc que nos mômes ne connaîtront pas. Comme de dormir allongé sur la banquette arrière de la bagnole quand tes parents roulent de nuit pour partir en vacances.

En conneries de jeunesse, j’ai fait l’armée aussi. Je confirme que je n’ai pas eu le choix. Pas assez comédien pour feindre le P4. Un des derniers à faire douze mois de merde. Pistonné pourtant, hein. Grand confort à l’École Militaire avec mes week-ends libre, mais grosse perte de temps néanmoins. Ça, je suis bien content qu’ils soient dispensés, mes garçons, de la boîte à cons.

Au cas où tu n’aurais pas remarqué, je mets des liens dans mes trucs, souvent musicaux. Tu les reconnais parce que c’est écrit comme ça. Tu cliques dessus, ça s’ouvre dans un nouvel onglet, tu lances la lecture du bidule si ça démarre pas tout seul, puis tu reviens ici continuer la lecture. C’est comme le film en odorama où il fallait gratter la case quand le n° s’affichait, sauf que là ça pue pas. Allez, un dernier.

Je confirme le succès du ventilateur auprès du minus.